Les Origines
L'homme baigne dans un champ d'énergies venu, à la fois, de la Terre et de l'Espace. L'équilibre des rayonnements reçus détermine sa santé, et les perturbations produites par le sous-sol de notre planète engendrent des déséquilibres et des états de faiblesse favorables aux maladies.
Nous souvenant, que certaines proportions régissent à la fois, la croissance de l'être humain, celle d'une plante, et les distances relatives des planètes, il est intéressant, aussi, de voir comment les civilisations anciennes ont su marier les connaissances astrologiques, mathématiques et géobiologiques pour utiliser les énergies cosmotelluriques et soigner physiquement les hommes tout en les élevant spirituellement.
Notre planète est parcourue par un réseau de courants électriques qui est en quelque sorte son système nerveux, avec des centres (chakras) et des zones d'influence. Les Hindous désignent sous le nom de fluide akashique, les différents courants qui circulent dans le sol.
Les Anciens nommèrent ces innervations invisibles : LES VEINES DU DRAGON.
Les animaux ressentent ces mystérieux effluves et savent fort bien où ils doivent établir leur tanière, leur nid ou leur gîte.
Depuis longtemps déjà, les radiesthésistes prouvent qu'il leur est possible de détecter à la baguette et au pendule les courants électriques qui sillonnent la terre.
Ces radiations ont une influence marquante sur la santé et le comportement humain. Certaines zones sont infiltrées par des ondes nocives, qui altèrent la
santé des êtres qui y vivent. Ces ondes nocives détruisent l'équilibre vital des animaux et des végétaux, et engendrent au cœur des minéraux des électrolyses qui désagrègent les pierres.
En Occident, les druides détenaient une connaissance parfaite des fluides souterrains et cosmiques et certains monuments ou sites que nous tenons en héritage des Celtes ont été édifiés sous la conduite clairvoyante des sages en robe blanche.
Malheureusement l'être humain, suite aux influences de pouvoir de certains religieux, face aux pensées cartésiennes occidentales, etc, ont permis d'effacer (ou presque) ces connaissances et surtout annihiler ses "dons".
Heureusement, pour des raisons que nous n'aborderons pas, l'être humain a la capacité de redécouvrir, avec le temps, ce qu'il lui a été retiré. Mais à ce jour il reste encore bien des connaissances oubliées à retrouver.
Le but de la vie, c’est d’être en accord avec la nature.
Zénon de Citium